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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

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Bugatti 38 Torpédo Biplace 1927


Bugatti Type 38 Torpédo Biplace genre Sport de 1927.


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La Bugatti Type 38 est un modèle de voiture de la marque historique Bugatti produite de 1926 à 1927.

La Bugatti Type 38 est produite de 1926 à 1927. Conçu dans une période de grande activité créatrice à Molsheim, le Type 38 remplace en 1926 le Type 30. Si la cylindrée est identique, l'empattement est allongé de 27 centimètres. La 38 est surtout la première Bugatti de tourisme à bénéficier de nombreuses améliorations dérivées des modèles de compétition.

À l'image de l'essieu avant tubulaire, forgé et poli, qui reprend la forme du Type 35 de Grand Prix, mais il est plein et non creux comme sur les voitures de course. Toutes les Bugatti seront dotées par la suite de cet essieu. La 38 reçoit également de grand tambours de freins d'égal diamètre (33 centimètres) sur les quatre roues. Leur commande est identique à celle des Bugatti de Grand Prix. De même, la forme du radiateur s'avère proche de celui du Typa 35.

La Bugatti Type 38 a été construit en deux versions : cabriolet 4 places et coupé 2 places. La voiture possède un gabarit modeste avec une ligne très élégante. La version cabriolet cabriolet est composé d'un toit fixe fabriqué en lattes de bois entoilés donnant l'illusion d'une capote. Quant aux compas postiches, ils sont nickelés, la voiture ne possédant aucun chrome.

Le pare-brise en deux parties permet d'aérer l'habitacle, tandis que le tableaux de bord en bois précieux porte la caractéristique volant Bugatti à quatre branches. L'ensemble se révèle relativement lourd, la voiture dépassant les 1 100 kg pour les deux versions. Les freins proviennent de la Type 40, tandis que le radiateur et les axes viennent de la Type 43. Il existe aussi une version deux places « luxe » construite à très peu d'exemplaires.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Bugatti ", France 1909 - ....

En 1881, naît Ettore Bugatti à Milan. Après l’école, il commence un apprentissage chez Prinetti & Stucchi, un fabricant de bicyclettes.

En 1898, Bugatti monte son premier véhicule à quatre roues pour Prinetti & Stucchi, la Type 1, comme on l’a appelée par la suite.

En 1901, la Bugatti Type 2 obtient une médaille à l’exposition automobile de Milan. Le baron de Dietrich, constructeur de véhicules de Niederbronn, en Alsace, est tellement enthousiasmé qu’il prend Ettore Bugatti sous contrat.

Entre 1902 et 1904, environ 100 automobiles des Types 3, 4 et 5 voient le jour sous le nom de Dietrich-Bugatti.

En 1904, pour Emil Mathis, Bugatti construit une voiture. Il s’agit du prototype pour la Type 6 et la Type 7.

En 1907, Bugatti s’installe à Cologne et produit pour la fabrique de moteurs à gaz Deutz des modèles quatre cylindres. En 1909, il fonde sa propre entreprise à Molsheim, en Alsace.

En 1909, Ettore Bugatti commence à construire des automobiles pour son propre compte.

Au salon automobile de 1910 à Paris, les « Bugatti » connaissent un vif succès.

De l’usine de Molsheim vont sortir au cours des 47 années qui suivent des véhicules équipés de moteurs quatre, huit et seize cylindres.

Son fils, Jean Bugatti (1909-1939) s’avérera lui aussi être un constructeur génial. Pour ce jeune homme à la fois sensible et déterminé, ce n’est pas une tâche aisée que de s’affirmer par rapport au père. Il n’a que 21 ans lorsqu’il commence à dessiner des carrosseries.

Le talent du jeune Jean est idéalement secondé par celui du dessinateur Joseph Walter. En 1939, la guerre met fin à la production de Molsheim.

Au cours des années qui précèdent et qui suivent la mort d’Ettore, survenue en 1947, ont lieu de timides tentatives de reprendre la production, mais en raison du décès prématuré de Jean, il manque à l’usine un dirigeant et, surtout, un esprit créatif.

En 1956, la tentative de come-back avec une voiture de course de Type 251 échoue. En tout, ce sont 7 950 Bugatti (de la Type 13 à la Type 101) qui auront quitté l’usine de Molsheim.

En 1991, le courtier en finances tyrolien Romano Artioli fait renaître la marque. À Modène (Italie), on construit l’EB 110, qui est alors la voiture de sport la plus rapide du monde (352 km/h).

En 1993 est montré pour la première fois au salon de Genève le prototype de recherche EB 112, une limousine avec un moteur douze cylindres de 6 litres et 460 chevaux.

En 1995, l’entreprise d’Artioli fait faillite. En quatre ans, 139 véhicules ont été construits.

En 1998 le groupe allemand Volkswagen AG rachète la marque Bugatti et demande au célèbre designer italien Giorgetto Giugiaro de la société Turinoise Italia Design de produire deux prototypes inspirés de la Bugatti EB 112.

En 2000 la société Bugatti Automobiles SAS, basée à Dorlisheim lance le projet de la Bugatti Veyron, moteur 16 cylindres en W, 1001 chevaux, 408.47 km/h, boite 7 rapports à commande séquentielle, pneumatiques de 20 pouces au prix de 1 000 000 euros hors taxes (soit 1 196 000 euros TTC).

En 2003 Thomas Bscher succède à Karl-Heinz Neumann à la tête de l'entreprise.




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